BIODEGRADABLE

Publié le par victor

  

VICTOR : biodégradable.

 

 

 

 

 

Laurent Cotte (VICTOR) est né à Grenoble en 1957.Il vit à Biarritz et puise son inspiration créatrice dans la forêt de Chiberta. Architecte, infographiste 3D, peintre, installateur, photographe, artiste, il expérimente par ses créations artistiques une multitude de médiums et de techniques classiques et contemporaines.

 

En 1982 ses traces de train présentées à Monaco initient un parcours singulier. L'année suivante, il présente à Bayonne lors de son exposition "Détournement du caractère" une série d'estampes typographiques, déposées à la Bibliothèque Nationale de Paris.

En 1984

Agnès B l'accueille à Paris pour son exposition de photographies "Le Cardigan pression", il pose adossé a un blockauss devant son tableau de la tour Eiffel.
 

En 1985

Il repeint le mur de l’Ecole Spéciale d’Architecture d’un grand « ZOO »

et d’une petite porte ouverte en trompe l’œil d’où il sort « architecte DESA »..

 

1987-1997

"DISPARUTION"

1998-2002 : Le temps des moniteurs

 

L'année 1998 marque un tournant dans sa création. L’idée de faire une projection sur les capitales européennes commence à germer. Le principe était de faire partager la vie de ses voisins européens de 45 capitales et ce juste avant le passage au troisième millénaire. L’idée est de montrer les monuments historiques mais aussi la presse, la nourriture, les plats typiques, les ballades en taxi, le soleil qui se lève, les ronds points et tout cela grâce à un tableau vidéo de trois mètres de hauteur, constitué par 54 moniteurs et DVD . En 2000, à l'aéroport et à la base sous-marine de Bordeaux il installe un mur d'images sur l'Europe, 54 vidéos synchronisées présentant toutes les capitales. La prouesse technique consistait à ce que tous les 54 moniteurs puissent s’allumer en même temps pour que le vidéo spectateur découvre en un clin d’oeil l’ensemble de ce vaste ensemble européen qui va de Reykjavik à Nicosie et de Gibraltar à Moscou. Mais la vision européenne de VICTOR ne se résume pas aux États. Au contraire son Europe intègre aussi les capitales des minorités, des basques, des irlandais. Une Europe des peuples plus que des États. Une manière de tenter de faire avorter les a priori qui nous sépare. Une manière aussi de faire apparaître une identité européenne avec ses addictions télévisuelles, ses consommations, ses habitudes. En 2001, VICTOR reprenait "en miniature" cette installation au Casino de Biarritz où il installait 9 moniteurs en guise d’ instantané de la vie des capitales, de leurs habitants, des manières de vivre. Une mémoire en marche, vivante, attractive sous forme de mur qui nous renvoie à notre propre histoire, qui initie une réflexion sur ce que nous sommes.

2002-2003 : Des avions pleins la tête.

En 2002 ses "Twin Towers", présentées dans le cadre de Novart au Garage Moderne de Bordeaux, s'inscrivent dans les productions artistiques post 11 septembre et intègrent toujours des moniteurs qui jalonnent son parcours artistique.
 

2004 marque l'année des installations à Paris (Le salon des designers). Pour VICTOR, "le moniteur représente le meilleur vecteur pour toucher les gens. Ce n'est pas de la télévision mais une figure connue et docile. Le mur a trou est un échiquier qui respire, plusieurs pièces vidéos qui décrivent ensemble une atmosphère."

 

2005 : Peintures
 

VICTOR sortant de ses installations au fond des piscines se replonge dans la peinture .Il reprends l’icône de la  tour Eiffel qu’il travaille depuis 20 ans mettant en scène sa vie personnelle comme décor.

 

2006 : L’engagement humanitaire

 

VICTOR en rejoignant l’association Maysha Africa de Sonia Rolland (www.soniarollandpourlesenfants.com) introduit ses réflexions dans l’architecture en créant le concept de « village parapluie ».Cette année là, il rencontre Katoucha (égérie de monsieur Yves Saint Laurent ) et œuvre dans le cadre de l’association KPLCE :

kplce.over-blog.com

 

 

      

 

 

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